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Artiste invité : la chorale Guitit de Jerusalem dans laquelle chantent de bons copains
homo scribens par défaut, photographe presque par (com)pulsion, ébéniste (amateur) par attirance irrépressible,
conjoint, père, et fils par amour et choix, israélien par conviction, violoniste débutant, cycliste par orientation méditative, affamé et mû par nature. Déjà huit fois grand-père et maintenant bien habitué. Exerce la psychologie clinique sous bon nombre de ses formes...mais envisage de progressivement laisser la lutherie prendre la place centrale.
"Accoucher, ce n'est ni enfantin, ni pueril, s'imaginer autre chose c'est avoir des doux leurres" et c'est l'humour du Rav.y.Guedj..autrefois on ne pouvait savoir.. c'etait l'attente, les desirs secrets, et parfois les deceptions..que serait-ce garcon ou fille ? chacun des parents proposait un prenom, et meme les grands-parents s'en melaient..En France, il fallait un prenom "passe-partout" et puis a la nomination, les traditions prevalaient sur le prenom usuel a la mode, sans parler des pressions sentimentales de l'entourage... Aujourd'hui, et en Israel, nous memes et encore plus nos enfants ne s'encombrent pas des prejuges..mais toujours, tout au moins dans le milieu religieux, chacun de nous connait l'importance du prenom. Jean a pratiquement tout developpe sur le theme..j'ajouterais modestement que le nom avec ses vertus benefiques,(pour ne parler que du cote positif du nom)a une double influence..tout d'abord par le caractere identitaire du personnage, l'animal,l'astre,la fleur, qu'il nomme ou represente, mais aussi il a une certaine resonnance grace au benefice des lettres hebraiques qui l'inscrivent.Ainsi en Israel les prenoms s'ecrivent dans la langue sacree et revetent une importance supplementaire, chaque lettre est une valeur, un symbole, une evocation au reve..ensembles reunies elles seront dans un prenom la couronne qui illuminera la tete de nos cherubins...
"Accoucher, ce n'est ni enfantin, ni pueril, s'imaginer autre chose c'est avoir des doux leurres" et c'est l'humour du Rav.y.Guedj..autrefois on ne pouvait savoir.. c'etait l'attente, les desirs secrets, et parfois les deceptions..que serait-ce garcon ou fille ? chacun des parents proposait un prenom, et meme les grands-parents s'en melaient..En France, il fallait un prenom "passe-partout" et puis a la nomination, les traditions prevalaient sur le prenom usuel a la mode, sans parler des pressions sentimentales de l'entourage...
RépondreSupprimerAujourd'hui, et en Israel, nous memes et encore plus nos enfants ne s'encombrent pas des prejuges..mais toujours, tout au moins dans le milieu religieux, chacun de nous connait l'importance du prenom. Jean a pratiquement tout developpe sur le theme..j'ajouterais modestement que le nom avec ses vertus benefiques,(pour ne parler que du cote positif du nom)a une double influence..tout d'abord par le caractere identitaire du personnage, l'animal,l'astre,la fleur, qu'il nomme ou represente, mais aussi il a une certaine resonnance grace au benefice des lettres hebraiques qui l'inscrivent.Ainsi en Israel les prenoms s'ecrivent dans la langue sacree et revetent une importance supplementaire, chaque lettre est une valeur, un symbole, une evocation au reve..ensembles reunies elles seront dans un prenom la couronne qui illuminera la tete de nos cherubins...