Achevé et publié en hébreu. En cours de traduction en français
Un peu de remise en forme
Le lecteur désireux de relire certains articles, ou de lire plusieurs textes à la suite doit aller aux "pages" de ce blog, dans lesquelles les textes sont répértoriés, organisés, numérotés, bref plus accessibles.
A l'ouverture de chaque page se trouve la table des matières de la page.
Artiste invité : la chorale Guitit de Jerusalem dans laquelle chantent de bons copains
homo scribens par défaut, photographe presque par (com)pulsion, ébéniste (amateur) par attirance irrépressible,
conjoint, père, et fils par amour et choix, israélien par conviction, violoniste de moins en moins débutant, cycliste par orientation méditative, affamé et mû par nature. Déjà neuf fois grand-père et maintenant bien habitué. Exerce la psychologie clinique sous bon nombre de ses formes...mais envisage de progressivement laisser la lutherie prendre la place centrale.
Que d'histoires d'auto...nomie !et c'est bien vrai, l'adolescent reve de ce moment ou il va acquerir le permis de conduire, et avec lui l'independance, la liberte, la puissance..il devient "maitre de sa voiture",pour la dominer, et parfois defier le danger, defier les regles du code de la route, et de bienseance..conduire, et se bien conduire vont souvent ensemble..La voiture donne a l'homme un sentiment de puissance et parfois d'orgueil par le fait qu'il va souvent depasser la vitesse "permise"pour le gain de Temps et d'Espace..Deux notions qui ennivre l'homme, et sa satisfaction.Ce bien materiel : la voiture permet de "vehiculer" beaucoup de messages a autrui, et a soi-meme.
Me reviennenent quelques anecdotes avec la voiture de Pepe en Israel:
- Un petek que lui avait "gentiment" depose un voisin sur le pare-brise a Ma'hal lui demandant de ne plus demarrer le matin sous sa fenetre... Le bruit d'un boeing qui demarrait tous les matins a l'heure de sha'harit devait commencer a lui peser.
- Une histoire (un peu floue dans ma tete) d'un automobiliste que Pepe avait insulte en Yiddish, pensant que comme a La Troche, personne ne comprenait ses insultes. Double manque de chance: * Le conducteur comprenait le Yidish * Il etait policier
- Le plaisir quotidien qu'avait Pepe a ramene son "rav" (un ami a lui, americain, Rav de diplome a qui Pepe demandait vers la fin de sa vie ses questions de ala'ha) depuis la shoule de Ramat Eshkol
- Le plaisir qu'il avait a venir cherhcer la famille francaise a Ben-Gourion, puis le stress quand on ne retrouvait plus la place de parking dans le noir
Que d'histoires d'auto...nomie !et c'est bien vrai, l'adolescent reve de ce moment ou il va acquerir le permis de conduire, et avec lui l'independance, la liberte, la puissance..il devient "maitre de sa voiture",pour la dominer, et parfois defier le danger, defier les regles du code de la route, et de bienseance..conduire, et se bien conduire vont souvent ensemble..La voiture donne a l'homme un sentiment de puissance et parfois d'orgueil par le fait qu'il va souvent depasser la vitesse "permise"pour le gain de Temps et d'Espace..Deux notions qui ennivre l'homme, et sa satisfaction.Ce bien materiel : la voiture permet de "vehiculer" beaucoup de messages a autrui, et a soi-meme.
RépondreSupprimerJean, je lis avec plaisir ce post.
RépondreSupprimerMe reviennenent quelques anecdotes avec la voiture de Pepe en Israel:
- Un petek que lui avait "gentiment" depose un voisin sur le pare-brise a Ma'hal lui demandant de ne plus demarrer le matin sous sa fenetre...
Le bruit d'un boeing qui demarrait tous les matins a l'heure de sha'harit devait commencer a lui peser.
- Une histoire (un peu floue dans ma tete) d'un automobiliste que Pepe avait insulte en Yiddish, pensant que comme a La Troche, personne ne comprenait ses insultes. Double manque de chance:
* Le conducteur comprenait le Yidish
* Il etait policier
- Le plaisir quotidien qu'avait Pepe a ramene son "rav" (un ami a lui, americain, Rav de diplome a qui Pepe demandait vers la fin de sa vie ses questions de ala'ha) depuis la shoule de Ramat Eshkol
- Le plaisir qu'il avait a venir cherhcer la famille francaise a Ben-Gourion, puis le stress quand on ne retrouvait plus la place de parking dans le noir